Olivier BARRIERE

Nom de l'UMR ou de la structure UMR ESPACE-DEV
Email olivier.barriere@ird.fr
Ma fonction et/ou mon métier et/ou mon sujet de recherche Chargé de recherche, juriste de l'environnement et anthropologue du droit / Coviabilité socio-écologique
Adresse MTD 500 rue Jean-François Breton
Code postal 34093
Ville Montpellier
Votre thème d'atelier préféré Ressources renouvelables
Quels sont vos retours d’expériences sur des démarches multi, pluri, interdisciplinaires et partenariales (non académiques) : positifs, négatifs, atouts Projet éditorial, constitution de réseaux sur la coviabilité socio-écologique avec des disciplines trés différentes et éloignées allant des mathématiques à la biologie, au droit, à la géographie, l'anthropologie, etc. Il faut un fil conducteur qui accroche toutes les disciplines et surtout les personnes intéressées, une motivation pour rassembler, un enjeu commun. Il faut créer du commun pour fédérer. Que du positif, le négatif se situe dans chaque champ disciplinaire qui cloisonne.
Quels sont pour vous les freins aux démarches interdisciplinaires que l’on doit dépasser à l’IRD L'évaluation est trés disciplinaire. Les publications sont trop disciplinaires, le mélange est souvent difficile à accepter d'un point de vue académique. Au sein due l'IRD il faut cesser la séparation SHS et les autres, il est impératif de décloisonner et de se concentrer sur les thématiques, les enjeux socio-écologiques.
Quels sont pour vous les enjeux de l’approche Sustainability Science dans les activités de l’IRD une science plus appliquée, qui apporte des réponses aux enjeux des sociétés. Une science plus engagée et impliquée dans les enjeux des sociétés; une science plus réactive et démonstrative
Quels sont pour vous les pièges de l’approche Sustainability Science dans les activités de l’IRD d'être phagocytée par le mode politique et économique. Ce sont les dérives telles que le concept de service écosystémique par exemple, qui souligne l'incapacité de la science à innover des concepts par elle-même.
Pour vous ce séminaire serait une réussite si on parvient à sortir d'une réthorique convenue, du discours non novateur, pour ouvrir le champs des possibles, introduire la science durable à la science de la viabilité. Etre plus concret, pragmatique, transiter de la stratosphère à l'horizon A, rapprocher la science des acteurs locaux, territoriaux, décisionnaires
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