En quoi la consommation transforme la production et, impacte la biodiversité et les ressources en eau (sol) ?
Livrables
• Intitulé
Impact de la consommation sur la production, la biodiversité, les ressources en eau et en sol,
La biodiversité, les ressources en eau et en sol face à la production cotonnière.
La production, la biodiversité, les ressources en eau et en sol face au tourisme de masse.
• Description
Interaction d’échelle
Production délocalisée ;
• Fonds de science (nouvelles connaissances)
o quelle sont les nouvelles connaissances scientifiques que l'on doit acquérir pour répondre aux enjeux ?
Peu de recherche sur le lien consommation/production :
Externalité négative d’un pays en autre (la « vertu » en France peu impacter sur le biodiversité au Sahel)
Interaction d’échelle (eau virtuelle, déforestation, importée), baisse de la production bio en France;
Liens entre énergie et biodiversité et ressources
Comment la consommation peu impacter le mode de production
Traçabilité des produits ;
Impact des traitements de cotons ;
Alternatives au coton ;
o connaissances avec d'autres acteurs
Agriculture ;
Industrie ;
Tourisme ;
Service
La mode ;
• Partenaires
Consommateurs ;
Agriculteurs ;
Producteur d’autres produits textiles;
Industrie de la mode ;
La grande distribution ;
Décideurs politiques
Autres acteurs économiques (structures d’ESS, etc.) ;
Secteur informel ;
• Plaidoyer, comment on communique ?
Circuit court ;
Libéralisation des échanges = perte de la biodiversité et des ressources
coûts socio-économiques et environnementaux ;
besoin d’instaurer des échanges durables ;
• Quels défis on doit relever ?
Démontrer que le problème n’est pas la consommation, mais la délocalisation géographique et temporelle des échanges.
• Quelles communautés d'acteurs mobiliser ?
• Quelles communautés d'acteurs mobiliser ?
Fonds
En quoi les services ecosystèmiques rendus par la biodiversité est un levier pour consommation/production durable et gestion des ressources en eau
Discussion générale
Quels écosystèmes ?
Services écosystèmes en terme d’alimentation
de revenu
Conservation des eaux et des sols
Exemple de situation de système non durable
Eau sidi ou Ali pas de service rendu en contre partie
La forêt est surexploitée par les bergers
Pas de retour au locaux ce qui engendre une production non durable (bovine ou celle de l’eau) en très peu d’année faillite de tout le système
Quantifier les services
Comment les services écosystèmiques sont estimés
Le PSE (payement pour le service ecosystèmique) action d’incitation à gerer convenablement l’écosystème
Etre capable de compenser le manque à gagner
Benchmark de ce qui a été fait
Comment la mesurer les services ecosytèmiques?
Identifier les menaces
écosystème forêt / BV
Services rendus eau en aval, culturel, approvisionnement, soutien
Les acteurs sociologue, économiste, biophysicien, politique tous travaillants ensemble challenge
Mots clés : services ecosystèmiques-et biodiversité ; consommation production, gestion des eaux et des sols
1/ Front de science
Défi 1 : Méthodologie d’intervention des acteurs scientifiques selon une approche inter et transdisciplinaire
Economiste, sociologue, biologiste, agro écologiste, statisticiens…
Comment peuvent travailler ensemble ses différents acteurs ?
Définir une méthodologie
Défi 2 : Comment identifier les services les plus pertinents au regard des différents acteurs
Identifier les catégories des services est plus pertinente
Lister les services les plus pertinents en terme de financement futur
Défi 3: C’est quoi la consommation durable
Economie verte, économie sectorielle
Défi 4 : Prise en compte des pratiques ancestrales
2/ Partenaires et communautés à cibler
ONG spécialisé, institutions étatiques, sociétés privées, bayeurs de fond, décideurs politiques et économiques,
Communautés cibles
Collectivités territoriales, populations locales et autochtones, décideurs politiques et économiques, confédération des privées
3/ Plaidoyer
Expliquer et montrer l’importance (défendre) des services ecosystèmiques aux décideurs politiques économiques et sociales pour une consommation durables
Plaidoyer pour viser les populations
Que doit être l’apport de la recherche dans la définition d’indicateurs (multicritères) des interactions entre ODD ?
Quelles données on à ?Comment on développe, valide ?
Comment former les étudiants pour qu’ils comprennent que les données ne sont pas juste dans des bases de données ? Que sont les méthodes de conservation et traçabilité des données ?
Quelles données avons-nous déjà ? Quelles sont nécessaires ? Comment peut la recherche combler les lacunes ?
Le rapport Global Sustainable Development mettent en avant les liens transversales entre les ODD
Il faut être originaux pour obtenir des fonds, provocateur. Comment on peut avoir des indicateurs multicritères basées sur le big data, données non institutionnelles ? Comparer à des aspects très élongées de ça, ex anthropologiques ?
Comment rendre utiles ces indicateurs ? Ils sont normalement pas utiles au niveau locale.
Il existe des méthodologies multicritères, nous devons voir comment la recherche peut améliorer/valider les choses. Cartographie, services écosystémiques, etc.
Analyse des indicateurs existants et pourquoi ils ne sont pas satisfaisant pour les besoins actuels ?
Les indicateurs qui sont utiles pour la communauté sont les plus importants. La science peut aider à mieux les préciser. La recherche peut travailler du terrain pour rendre les indicateurs plus précis.
Indicateurs qui peuvent être suivis dans le temps sont important. L’évolution est ce que nous intéresse. Devons imaginer dans le temps. Quel est le besoin en termes d’investissement ? Comment est ce qu’on peut le faire à bas cout ? Doivent être adaptées à un contexte ou les bailleurs ne sont plus là et le suivie continue. Le plus parcimonieux possible. Simple, mesurable, accessible, et qui peut être utilisé par la population.
Comment rendre les observatoires durable ?
Comment traduire les indicateurs en termes clair ?
Le savoir locale est descriptif des conditions écologiques en termes simple. Approche ethno/anthropo peut être complémentaire au données qui sont faciles à obtenir (ex données observations satellites). Les approches doivent être complémentaires.
Indicateurs qui aurait besoin des consommateurs. Contexte pour les pays développées ?
Traçabilité en pays en développement est très complexe.
Nous avons besoin d’identifier des défis pays nord et pays sud, ils ne sont pas les mèmes.
Donnés qui viennent du consommateur et peuvent monter l’échèle.
Il y a bien d’indicateurs qui viennent de l’homme qui peuvent alimenter les indicateurs à une plus grande échelle.
Il y a des indicateurs qui peuvent être applicable au nord et au sud. Simple mais en commun.
Indicateurs multicritères qui sont mutuellement compatibles aux différentes échèles. Simple mais pas particulièrement précis des fois. Faire avec ce qu’on à, qui n’est pas parfait mais peut nous aider. Ce n’est pas de la « science » précis, juste des données qui sont suffisamment bien.
Indicateur multicritère – ce que les gens mangent dans le foyer. L’assiette est un indicateur.
Indicateurs multicritère nationaux – fertilité des sols est évalué par les rendements nationaux. Il y a un grand décalage entre le niveau nationale et le niveau locale. La science peut mieux calculer ces indicateurs la, et proposer des nouveau indicateurs.
Acteurs à mobiliser : un des clients peut être les instituts statistiques nationaux, ils sont permanents. Le dernier cible des ODD vise les offices statistiques.
Croisement du big data et l’anthropologie/ethno, comment ils peuvent créer des indicateurs simple, pérenne, communicable, mesurable, utilisable
Eau virtuelle dans les produits – c’est connue, et parlant, « embedded carbon », doit frapper l’esprit pour avoir un impacte. Parler au plus grand nombre mais être basée dans la science. Quelles indicateurs seurait les plus motivants ?
Intitulé : « Production et valorisation des indicateurs pour les ODD »
- « Mobilisation pluridisciplinaire de l’anthropologie au big data pour des indicateurs multicritères pour les ODD utiles, utilisables, utilisés »